Les grandes entreprises : imparfaites, mais si nécessaires
Chronique de Cécile Philippe, présidente de l’IEM, publiée le 1er juillet 2019 dans la revue Phébé.
La critique des grandes entreprises a le vent en poupe. À ce titre, le livre de Tyler Cowen est un défi majeur, l’auteur l’avoue lui-même. Il propose en neuf chapitres des réponses aux principales critiques formulées à l’égard du big business et nous invite à les dépasser.
D’abord, il faut reconnaître ce que ces structures nous apportent, à savoir tout ce que nous consommons, nos emplois, nos salaires et l’épargne salariale. Plus encore, à travers l’entreprise, nous finançons aussi l’assurance maladie, la retraite, les congés, les formations et parfois même la garde de nos enfants.
Lire « Les grandes entreprises : imparfaites, mais si nécessaires » sur le site du magazine Phébé (sur abonnement). Il s’agit d’une recension de Big Business: A Love Letter to An American Anti-Hero, par Tyler Cowen (St. Martin’s Press, 2019).
Cécile Philippe contribue régulièrement à la revue internationale d’idées de langue française Phébé. Il s’agit d’un magazine du journal Le Point qui vise à éclairer. Dans la mythologie grecque, Phébé (« la brillante ») était la Titanide de la lumière. Phébé offre un panorama unique de la pensée mondiale. Phébé est alimentée par un réseau de correspondants sur les cinq continents. Leur rôle est d’identifier les publications universitaires les plus originales – livres, articles, rapports de think tanks, conférences – et de les restituer dans des articles accessibles pour le public éclairé. Laetitia Strauch-Bonart, basée à Londres, en assure la coordination éditoriale.