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La capitalisation pour vieillir sans déficit

BFM Business, « Good evening business » du 4 juillet 2024 avec Jacky Isabello, fondateur du cabinet Parlez-moi d’Impact, Alexandre Malafaye, président fondateur de Synopia, Franck Dedieu, directeur adjoint de la rédaction de Marianne et Nicolas Marques, directeur général de l’Institut économique Molinari.

Nicolas Marques souligne qu’avec le vieillissement, les comptes publics français sont mécaniquement dans le rouge. Le choix du tout répartition, adapté dans les années 1950 et 1960 caractérisées par une natalité significative et un nombre de retraités limité, est contreproductif depuis la fin du baby-boom. Pour financer des retraites généreuses en répartition, il faut une croissance démographique significative. Lorsque la démographie n’est plus au rendez-vous, la capitalisation redevient un outil indispensable. Cette réalité, parfois présentée comme néolibérale, est incontournable. Dans les années 1910 Jean Jaurès – le créateur du parti socialiste et du journal L’Humanité – défendait la généralisation de la capitalisation collective au nom de l’émancipation de la classe ouvrière et de l’amélioration du partage de la valeur.

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