L’IEM dans les médias
La fiscalité, poreuse, retombe tôt ou tard sur les ménages et son impact réel diffère radicalement des clichés caricaturaux souvent véhiculés dans le débat public. Les réponses de Nicolas Marques, directeur général de l’Institut économique Molinari, aux questions d’Atlantico. Atlantico : Durant l’examen de l’article 11 du projet de loi de finances en octobre dernier, le NFP est parvenu à faire voter une surtaxe temporaire de 120 % sur l’impôt…
→ Lire la suiteEric Lombard, le nouveau ministre de l’Economie du gouvernement Bayrou, devra garder à l’esprit plusieurs leçons sur les spécificités françaises lors de son mandat à Bercy. Les réponses de Nicolas Marques, directeur général de l’Institut économique Molinari, aux questions d’Atlantico. 1/ La composition du gouvernement Bayrou a finalement été rendue publique, le 23 décembre dernier et c’est Eric Lombard qui a été nommé à Bercy. Quelles sont, selon vous, les…
→ Lire la suiteLa nouvelle Commission européenne a confié la transition énergétique à deux personnalités opposées au nucléaire. Une mauvaise nouvelle pour la France. Chronique par Cécile Philippe, présidente de l’Institut économique Molinari, publiée dans Les Échos. Alors que le nucléaire connaît un regain d’enthousiasme au sein d’une partie de l’opinion publique et parmi de grands acteurs comme les sociétés Amazon, Google et Microsoft qui y investissent des milliards pour alimenter leurs datacenters…
→ Lire la suiteBFM Business, « Les experts du soir » du 9/12/2024 Nicolas Marques, directeur de l’Institut économique Molinari, souligne que le rejet du budget Barnier est – s’agissant des impôts de production – une bonne nouvelle. Le projet de loi de finances prévoyait d’étaler sur une période encore plus longue la baisse des impôts de production organisée par Bruno Le Maire. Une erreur économique et financière car taxer la production au-delà…
→ Lire la suiteBFM Business, « Les experts du soir » du 9/12/2024 La cotation de Vivendi à Londres et Amsterdam montre qu’une fois de plus, la bourse de Paris décline et que les bourses sont peu développées en Europe continentale. La cotation boursière des entreprises françaises représente 2 800 milliards de dollar, soit moins que les entreprises du Canada (3 000 milliards), du Royaume-Uni (3 600 milliards), de l’Inde (4 600) du…
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