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Présentation de Nicolas Marques, directeur général de l’Institut économique Molinari, aux Rencontres CAVP 2024. « La retraite est un sujet récurrent dans la société française, et la question de la diversification du financement est clé. Il y a quelques exemples d’institutions qui ont traité le sujet et la CAVP, à cet égard, est un exemple parlant. Le modèle de retraite des pharmaciens est rare et unique en France alors qu’il…
→ Lire la suiteBFM Business, « Good evening business » du 24 octobre 2024 En dépit des discours pro réindustrialisation, la fiscalité reste anormalement élevée. La France représente 31 % des impôts de production prélevés sur l’industrie en Europe, alors qu’elle ne fait que 12 % de la production industrielle. La fiscalité de production est particulièrement délétère pour les activités à marges cycliques, faute de se dégonfler lorsque les profits disparaissent. Tous nos voisins directs ont une fiscalité de…
→ Lire la suiteBFM Business, « Good evening business » du 24 octobre 2024 Financer exclusivement la protection par les prélèvements obligatoire nuit à la compétitivité et au pouvoir d’achat. L’enjeu du XXIème siècle sera de recapitaliser les régimes de protection sociale européens en développant notamment des capitalisations retraite en France et en Europe continentale. Dans un monde où la force de travail stagne et où les besoins des retraités augmentent, le capital est clef. Sans capital, impossible…
→ Lire la suiteBFM Business, « Good evening business » du 24 octobre 2024 Nicolas Marques souligne que le concours Lépine de la fiscalité – des taxes sur les billets d’avion aux taxes sur les liquides de vapotage – n’est pas à la hauteur des enjeux. Les recettes fiscales ne manquent pas dans un pays champion de la fiscalité. Ce n’est pas avec quelques centaines de millions d’euros par an de nouvelles taxes…
→ Lire la suiteBFM Business, « Good evening business » du 24 octobre 2024 Nicolas Marques souligne que l’an prochain, le taux de cotisation retraite de l’Etat sera de 89 %. Les cotisations patronales et salariales – à la charge du budget et des contribuables – seront trois fois plus élevées dans l’Etat que dans le secteur privé. Une anomalie liée à l’imprévoyance de l’Etat employeur. Au lieu de mettre de l’argent de côté pour financer les retraites…
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