Brève publiée le 2 octobre 2008 sur le site du journal La Provence. Les « Grenelle » ont le vent en poupe. Après le « Grenelle de l'environnement » et le « Grenelle de l'insertion », voici venu le « Grenelle du très haut débit », organisé par Éric Besson, Luc Chatel et Hubert Falco. Qui se souvient de ce que furent réellement les accords de Grenelle, dont toutes ces expressions sont issues ?
→ Lire la suitePrécaution
Brève publiée le 25 juillet 2008 sur le site du journal La Provence. La crise alimentaire qui touche les pays en voie de développement peine à se résorber. Un nombre croissant d'études montre que les premiers coupables de la hausse des prix des denrées alimentaires sont les politiques énergétiques et environnementales visant à favoriser l'utilisation de biocarburants.
→ Lire la suiteArticle publié le jeudi 8 mai 2008 dans Le Figaro. Si le processus législatif sur la plupart des questions abordées lors du Grenelle n'a pas encore été entamé, les déclarations du président comme des différentes commissions du Grenelle ne laissent planer aucun doute sur la question environnementale: elle sera réglementaire, fiscale et précautionniste au risque de freiner l'initiative individuelle et l'innovation.
→ Lire la suiteArticle publié exclusivement sur le site de l'Institut économique Molinari. Le tout récent projet de loi sur les OGM a été alimenté par des propositions inspirées par le Grenelle de l'environnement. Ce projet de loi, s'il n'interdit pas purement et simplement les OGM, en encadre néanmoins sévèrement l'utilisation par un processus d'autorisation administratif, lourd et possiblement arbitraire.
→ Lire la suiteNorman Borlaug, the "Father of the Green Revolution," sees no way the world can feed its hungry population without genetically engineered (GE) crops, especially if it relies more on biofuels.
→ Lire la suiteNorman Borlaug, le « Père de la révolution verte », ne voit aucun moyen de nourrir la population mondiale sans avoir recours à des céréales génétiquement modifiées, surtout si l'on souhaite développer les biocarburants de manière croissante.
→ Lire la suiteArticle publié exclusivement sur le site de l'Institut économique Molinari. La lutte contre le réchauffement climatique, clame José Manuel Barroso, ne coûtera que trois euros par semaine au citoyen d’ici 2020. Pas de quoi fouetter un chat, penseront certains. Le citoyen aurait pourtant trois bonnes raisons de s’inquiéter.
→ Lire la suiteArticle publié exclusivement sur le site de l'Institut économique Molinari. Il apparaît que les effets économiques et écologiques des biocarburants sont loin d'être positifs, dès lors que l'on considère leur bilan énergétique ou l'impact de leur production sur le cours des céréales et des plantes oléifères dans le monde.
→ Lire la suiteCompte rendu publié dans l'édition de mai 2007 de la revue Conflits actuels. Dans un livre qui en surprendra plus d’un, Cécile Philippe, fondatrice de l’Institut Économique Molinari, dénonce l’alarmisme environnemental et les propositions des hommes politiques. Pourfendant le consensus, elle propose de remettre en perspective les enjeux environnementaux, en rappelant que l’être humain est « la richesse environnementale la plus importante sur cette Terre ».
→ Lire la suiteCompte rendu paru dans Science... et pseudo-sciences le 21 novembre 2007. Cécile Philippe, avec son essai C’est trop tard pour la planète, s’inscrit en faux contre les idées reçues de la « pensée unique » et nous délivre un message rafraîchissant.
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